Venom : Let There Be Carnage est loin d'être un flop

Le nouvel opus de Marvel mettant en scène le journaliste Eddie Brock et son symbiote Venom vient seulement de sortir dans nos salles que le second volet a déjà fait couler beaucoup d’encre. En effet, selon certains internautes et la critique, le film est à la limite d’être un accident industriel à mesure que les spectateurs les plus aigris sont déçus de ne pas voir le sang giclé dans tous les sens. D’autres estiment que l’histoire n’a pas d’intérêt et est vide de sens.

Pourtant, les premières minutes nous plongent dans le vif du scénario. Certes, Venom 2 aurait pu être un peu plus long (il ne dure que 1 h 37 contrairement au premier qui durait presque 2 h). On peut comprendre cependant la frustration ressentie à cet égard, mais le long-métrage est à l’image de la signature Marvel de ces dernières années : un scénario touchant, drôle et parfois absurde, et c’est ça que l’on aime. De plus, le spectateur est capté rapidement, que l’on aime ou pas, le temps passe particulièrement vite et le film se laisse aisément regarder. 

Plus de liberté pour Venom

Vivants cachés, loin des regards les deux comparses doivent s’adapter l’un à l’autre. Au fur et à mesure le symbiote veut sauver le monde et croquer des tas de méchants. Mais Eddie lui sonne les cloches lui rappelant qu’il doit se faire impérativement discret, car ces derniers sont toujours recherchés, mais la frustration de Venom grandie de ne pouvoir vivre plus librement.  Cependant une situation les unit à nouveau et renforce leur relation (amoureuse ?) : celle de l’affrontement contre Cleytus Kasady étant habité par un autre symbiote : Carnage ! Vous l’aurez compris, cette rencontre est un véritable CARNAGE et malgré les critiques, fait un gros carton au cinéma !